Il s'agit d'un challenge organisé par l'Upro G auquel je participe pour la seconde année visant à déposer une photo par semaine sur un thème prédéfini!
Vous retrouverez mes publications sur les différents réseaux FB, Insta et Linkedin de CBL généalogie.
Semaine 49 #projet52UproG : un lavoir
En tant que lavalloise, j'ai toujours connu des bateaux lavoirs sur La Mayenne!
Si vous voulez en savoir davantage, je vous conseille cette petite vidéo de 1969 où les lavandières racontent le lavoir...
https://www.ina.fr/ina-eclaire-actu/video/rxf04039016/les-derniers-bateaux-lavoirs-de-laval
photos personnelles de 2013
PS : ma machine à laver est en panne...
https://mois-sans-tabac.tabac-info-service.fr/
#moissanstabac
photos personnelles
Pour en savoir plus : https://www.ochistoryland.com/knotts
Photo personnelle
Semaine 43 #projet52UproG : une publicité avant 1940.
Celle-ci date de 1939 et est extraite de la liste des abonnés au téléphone des PTT de 1939!
Une source généalogique souvent négligée mais que je trouve pleine d'émotion. Encore faut-il avoir des ancêtres commerçants par exemple!
On retrouve d'ailleurs dans les archives du journal "la démocratie" Emile PUJOL lors de la cession d'un fonds de commerce sur Gallica
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k10399479
mais aussi sur un arbre FILAE.
https://www.filae.com/v4/genealogie/MainLayout.mvc/MainLayoutResults?idPerson=NghrmVzVCXiDlBjlGGnKtrHkW8NdFk/w6B6EO6EdiMI=
J'ai eu la chance de retrouver aussi la trace de mon grand-père cafetier dans un vieil annuaire!
Semaine 41 : #projet52UproG : Timbre
J'ai commandé un livre d'occasion il y a quelques mois et je l'ai reçu dans une enveloppe recouverte de plusieurs vieux timbres poste collectionnables pour près de 40 francs!
Plutôt étonnant !
Ce décalitre appartenait à mes arrières grands-parents qui étaient agriculteurs à Bazougers en Mayenne.
Leur fils qui avait reprit la ferme m'a donné ce décalitre il y a de nombreuses années déjà.
Le décalitre est un instrument de mesure pour le lait avec son anse et son bec verseur. Chaque rainure correspond à 1 litre. On trouve maintenant des décalitres en inox!
photo personnelle
Semaine 38 :#projet52uprog : un plan papier ancien.
Voici un des nombreux plans et cartes extrait du Bottin de 1957 pour les départements 60 à 89
Une de mes dernières acquisitions...
#annuaire
#telephone
#sarthe
#plan
semaine 37 :#projet52UproG : spécialité culinaire locale
En hommage à mes racines vendéennes!
fruits rouges et épines noires...
a consommer avec modération quand-même !
photo personnelle
#vendee
#veniseverte
#niort
#aperitif
Semaine 36 #projet52UproG : un marque page
Petit objet indispensable à tout lecteur!
Mon dernier marque page...Trouvé au fond du tiroir d'une petite table de nuit, chinée cet été et datant du début du siècle dernier...
Dans ce même tiroir, coincé dans les interstices, une petite médaille de la vierge et des petits boutons de nacre!
Aucun indice... impossible donc de savoir à qui a appartenu ce marque-page...Dommage!
#brocante #lecture #livres #Gironde
Semaine 30 :#projet52UproG : : une médaille commémorative.
Il s'agit de la médaille Commémorative des opérations de sécurité et de maintien de l'ordre.
Il faut avoir fait au moins 90 jours sous l'uniforme français dans les opérations d'Afrique du Nord AFN ( Algérie, Tunisie, Maroc, Sahara et Mauritanie)
La médaille a été attribuée à un grand-oncle avec son agrafe pour l'Algérie et l'attestation est celle d'un oncle pour la Tunisie.
Il s'agit d'une distinction honorifique.
Semaine 29 :#projet52UproG : Un patronyme noble.
Il y a quelques années j'ai acheté les 2 volumes du nobiliaire de France édition 1976.
Ces volumes sont dédicacés par l'auteur Michel DUGAST ROUILLE médecin, généalogiste et historien français ( 1919-1987) qui consacra au moins 20 ans de sa vie à partir de 1960 à réunir dans une même publication les informations sur les familles de la noblesse française!
Ces volumes sont dédicacés de la main de l'auteur et comportent plusieurs annotation manuscrites!
Photos personnelles
#noblesse #martinique #toulouse #languedoc#nantes
#saintnazaire #nobiliairedeFrance #famille #généalogie
Semaine 28 :#projet52UproG : Armoiries
C'est en 1981, que le blason communal d'Avrillé dans le Maine et Loire fut créé par Jacques Thomé, adjoint au Maire de l’époque, Guy Pasquier, et par les membres de la commission de jumelage.
Son graphisme représente les éléments de la vie d’autrefois et fut adopté lors de la réunion du bureau municipal du 29 juin 1981.
Ecartelé, au premier d’azur, à trois fleurs de lis d’or ; Au deuxième de gueules, au maillet et burin d’argent mis en pal ; Au troisième de gueules, au moulin à vent d’argent ; Au quatrième d’azur, à la grappe de raisin d’or.
Les fleurs de lis sont celles des armes de l’Anjou,
Les outils des fendeurs d’ardoises évoquent les carrières exploitées jusqu’à la fin du XIXème siècle,
Le moulin symbolise les caviers dont deux subsistent de nos jours,
La grappe de raisin rappelle que la vigne fut cultivée sur les coteaux de la Mayenne jusqu’à la fin du siècle dernier.
Si vous souhaitez voir de près ces armoiries n'hésitez pas à venir me rencontrer à l'Étude CBL Généalogie tout près de la mairie d'Avrillé!
https://www.ville-avrille.fr/le-blason/
Semaine 27 :#projet52UproG : pilulier de pharmacie en carton
Il s'agit ici d'une boite non pas de pilules mais d'ampoules buvables pour adultes de vitamine B12....Hepardynol B12 du laboratoire Opolabo. recommandées pour anémie, convalescence et asthénies (fatigue)...
Une petite boite ayant appartenu à ma grand-mère et qui contient des boutons de toutes sortes!
Je me demande si ces ampoules étaient réellement buvables??
Photo personnelle
Semaine 26 #projet52UproG :: Boite d'allumettes.
Ou plutôt une boite à allumettes! il s'agit d'une boite des années 1920, je pense.
Elle est en tôle émaillée rose! et c'est ça son originalité car on trouve plus souvent des boites dans les tons de bleu.
L'avantage de ces petites boites c'est que les allumettes sont protégées de l'humidité et que l'on ne les cherche pas!
Photo personnelle
Semaine 24 #projet52UproG : objet lié à notre histoire familiale.
Il s'agit ici d'un tableau représentant la ferme de mes arrières grands-parents près de Bazougers en Mayenne. Ferme que j'ai connu petite avec ses animaux : vaches, cochons, poulets, canards, lapins etc
Il y a environ un siècle, Louis et Marguerite s'installèrent dans cette ferme avec leur fille ainée et la mère de Louis déjà veuve. deux autres enfants naitrons ici.
Semaine 23 #projet52UproG : fiche de personnel d'entreprise.
Une source à ne pas négliger afin de retracer la vie de nos ancêtres!
Nous avons parfois la chance au travers des actes d’État Civil de trouver la mention d'une entreprise!
Il s'agit ici des archives de la compagnie PLM (Paris Lyon Méditerranée) l'ancêtre de la SNCF...
Il est d'autant plus rare de trouver des informations sur le métier des épouses qui restaient souvent confinées aux tâches du ménage...
A noter tout de même sur cette fiche que marie Alphonsine BROCHARD apparait au nom de Mme GUYONNET Louis...
Elle est née le 22 avril 1876 à Ouzouer sur Trézé dans le Loiret., On peut lire aussi la date du mariage en 1902 et le fait qu'en 1907, elle a déjà 3 enfants.
Avant d'entrer à la PLM en 1907, elle a été domestique à Villiers sur Marne puis chez ses parents à Briare ( Loiret). Elle entre à la PLM comme garde barrière à l'essai!
Elle fera preuve de Zèle lors d'un incendie en 1908 et recevra une gratification.
Elle décède en 1912.
Ces dossiers sont consultable sur le site des ANMT.
#entreprise #archives #travail
https://recherche-anmt.culture.gouv.fr/ark:/60879/1851885/dao/0/1
J'aurais pu vous parler d'un voilier ayant sillonné les mers du monde mais j'ai décidé de vous présenter cette semaine la famille VOILIER! et oui c'est aussi un patronyme. Vous imaginez certainement qu'on le retrouve dans une région côtière?
Cette famille VOILIER vivait au 17ème siècle dans une petite commune de la Nièvre, sur le bord du canal que je connais Clamecy.
Edmé VOILIER , agé de 22 ans , drappier épouse à Clamecy le 24 novembre 1682, Pierrette ROLLIN, agée de 26 ans.
Edmé est le fils d'Edmé et d'Anne LAUT quant à Pierrette elle est la fille de Denis et de Pierrette MILLOT.
Cet acte est consultable sur le site des archives départementales de la Nièvre ici : https://archives.nievre.fr/ark:/60877/f6r723pzb4vg/ec705310-d3c2-412f-8e39-bd1e782e5980
Parti d’une source d’Arolsen, j’ai décidé de travailler sur Georges, Joseph BREHERET, né à Feneu dans le Maine-et-Loire le 31/08/1895, portant le nom de famille de ma mère et possédant plusieurs documents, Georges était la personne idéale pour ce projet.
Georges naît dans un monde rural, son père, Julien, est jardinier et avec sa femme, Marie Julienne MEDARD, ils vivent à Feneu au nord d’Angers. Cependant, Georges à 20 ans ne vit plus à Feneu, de par l’absence de son matricule dans les archives du département du Maine-et-Loire. Je l’ai retrouvé dans la région parisienne à Raincy, en Seine-et-Oise (Seine-Saint-Denis). Il se marie à l’âge de 24 ans avec Joséphine REJAUD. Dans son acte de mariage, il est déclaré comme « garde Républicain » domicilié à la caserne Mouffetard, 21 rue Gracieuse à Paris dans le 5ème arrondissement. De son côté, Joséphine, « sans profession » habite à Raincy, 18 allée de la Fontaine. Ses parents sont présentés au nom de Guillaume REJAUD et Marie DUMONT, vivants et domiciliés à Saint-Sulpice-Laurière en Haute-Vienne. Dans le département où le 14 avril 1902 naquit Joséphine à Balledent. A leur mariage est « présent » un garde Républicain domicilié à la caserne de Mouffetard, aujourd‘hui, prénommé Monge, au nom de KLEBER. Ensuite, Louis REJAUD, parent de Joséphine est aussi présent. Il est mentionné qu’il possède une médaille militaire et une croix de guerre. De plus, suite à des recherches dans les archives départementales de la Seine-et-Oise et municipales de Paris, le matricule militaire de Georges BREHERET n’a pas été trouvé, cela aurait permis de développer sur sa carrière militaire et professionnelle.
Georges était, cependant, devenu brigadier de police du commissariat de Villemomble en 1943, c’est durant cette année-ci qu’il fut dénoncé par un agent infiltré de son implication dans la résistance française. En effet, Georges BREHERET avait rejoint le 1er septembre 1942, le réseau CND (Confrérie-Notre-Dame) Castille sous le nom de « LEFORT » et employé comme agent de renseignement. Il est engagé par Jacques FEUILLET et devient un agent de type « P2 ». Le musée de la Résistance définit ces agents comme « membres ayant une activité permanente, consacrant la totalité de leur temps au service et se soumettant à une discipline totale, en particulier quant au lieu d'emploi et genre d'activité à exercer ». Georges intègre les FFC (Forces Françaises Combattantes) et d’après Mémoire des hommes, il aurait agrégé au réseau de renseignement du SR CDLL (Ceux De La Libération) dirigé par Maurice RIPOCHE. Georges, dans tous les cas, fut dénoncé et arrêté le 13 novembre 1943 à Villemomble et ensuite envoyé à Compiègne (Oise) dans un camp allemand. C’est le début de son aventure en déportation, Georges ne revint plus en France après son départ le 22 janvier 1944 pour le camp de concentration de Buchenwald.
Le 7ème départ pour Buchenwald est celui de Georges BREHERET, son convoi comporte 2005 hommes et femmes dont 1864 français. Selon le livre-mémorial de la Fondation de la Mémoire de la Déportation, 69,6% de ces déportés ont été arrêtés seulement 4 mois auparavant. Georges fait partie de cette masse. OCM (Organisation civile et militaire) et ORA (Organisation de Résistance de l’Armée) des Deux-Sèvres et du Puy-de-Dôme représentent une partie du convoi en direction du camp de concentration. Deux jours après son départ, le 24 janvier 1944, le train arrive à Buchenwald. Arolsen garde une marque du passage de George BREHERET dans le camp. Ses archives sont publiés, il portait le numéro « 41687 ». On comprend qu’il a été arrêté par la BDS (Befehlshaber der Sicherheitspolizei) de Paris à Villemomble. Cette police allemande contrôle tous les convois de Compiègne. Des documents expliquent que des accessoires ont été donné à Georges BREHERET : un manteau (mantel), une culotte nue (baar strumpie), un maillot (unterhemden), un bandana (halstuch) etc. Cependant, comme il est mentionné, George BREHERET part pour le camp de Mauthausen, en Autriche actuelle, à son apparition le français change de numéro et devient « 53653 ».
Sur sa carte, son deuxième prénom Joseph est mentionné, il est donc appelé Georges Joseph BREHERET à son arrivée à Mauthausen. Georges débarque le 25 février 1944 dans le camp de concentration. Ce trajet était peu habituel pour les expatriés à Buchenwald car le camp de Mittelbau-Dora était privilégié par les convois de déportation. Par ailleurs, Georges ne reste pas dans le camp en question car il part pour le « sous-camp » de Gusen, qui appartient à Mauthausen tout de même. Selon le site monument Mauthausen III, Georges aurait été affecté à Steyr le 8 mars 1944, soit une dizaine de jours après son arrivée à Mauthausen. Steyr Daimler est une firme autrichienne basée à Gusen, c’est le plus grand établissement du camp. On le nomme « Kommando Steyr » à partir de mars 1942. Firme automobile qui se rapproche du IIIème Reich en 1938 pour la construction d’armes. Ce travail reste moins meurtrier que les premières activités de Gusen en 1941 - 1942. Le 23 août 1944, Georges Joseph BREHERET est affecté à Gusen, il quitte Steyr pour s’installer dans le camp. Cet espace au nord de Mauthausen est construit par des prisonniers espagnols et polonais et ouvre le 25 mai 1940. En 1943, les premiers français et italiens arrivent dans le camp, la construction de galeries souterraines et la production d’armement sont les principales activités de Gusen. Les activités de Georges ne sont pas détaillées dans les documents. Par ailleurs, ce « sous-camp » prend une grande ampleur car en 1944, il compte 25 000 détenus soit le double de Mauthausen, on parle alors de camp Mauthausen-Gusen. Le camp de concentration reste fatal pour 31 208 détenus dont 909 français à la fermeture du camp en mai 1945.
Une question se pose sur le décès de Georges, Joseph BREHERET. Dans plusieurs sources, dont celle de Mauthausen, apparaît la date du 4 mai 1945 soit la veille de la fermeture du camp. Cependant en marge de son acte de naissance à Feneu, la date du 4 avril 1945 est mentionnée. Les différents sites reprennent les deux dates. Nous sommes certain que Georges BREHERET est décédé en Autriche dans le camp de Mauthausen. Georges appartient, alors, au 42,1% de décédés qui sont partis de Compiègne le 22 janvier 1944. Sur les 2005 partants seulement 990 reviennent vivants de la déportation. Les actions de renseignements réalisées dans la région parisienne à partir de 1942 et la déportation en Autriche permet à Georges d’être décoré de différentes médailles. Il reçoit la médaille de la résistance et l’Ordre de la Libération de manière posthume. Le décret du 31 mars 1947 et le Journal officiel du 26 juillet 1947 mentionne son nom. Il est aussi inscrit comme « Mort pour la France ». Ces décorations récompensent les Hommes, même décédés, de leurs actions pour la France et contre l’occupation allemande. Georges BREHERET décède à l’âge de 49 ans en déportation et laisse un enfant et une femme, veuve en France.
Alexis DUPE Stagiaire CBL généalogie
Sources :
Arolsen archives, BREHERET Georges Joseph, Recherche dans les documents des Arolsen Archives | 01010503 001.055.224 - Dossier de BREHERET, GEORGES, né le 31.08.1895 (arolsen-archives.org)
Archives départementales du Maine-et-Loire, Feneu – Naissances, mariages, décès (1893 – 1902), 77/235, Registres d'état civil - Visualiseur (maine-et-loire.fr)
Archives départementales de Seine-Saint-Denis, Raincy (Le), actes de mariages, 1920, 73/117, Actes de mariages, 1920. (RAI NC93) - Archives de la Seine-Saint-... (seinesaintdenis.fr)
Mémoire des hommes, BREHERET Georges, Rechercher dans les bases nominatives - Mémoire des hommes (defense.gouv.fr)
Monument Mauthausen III, BREHERET Georges, 53653 - Monument Mauthausen III (monument-mauthausen.org)
Opendatasoft, morts pour la France, BREHERET Georges Joseph, Fiche individuelle (memorialgenweb.org)
Annuaire de la CND Castille, BREHERET Georges, BREHERET Georges - CND CASTILLE (cnd-castille.org)
La Fondation pour la Mémoire de la Déportation, Livre-Mémorial des déportés de France arrêtés par mesure de répression et dans certains cas par mesure de persécution (1940 -1945), Editions Tirésias, Tome II , Evreux, 1990, (pages 12 à 22 du Tome II)
Semaine 20 #Projet52UproG !: Fiche CICR d'un prisonnier civil de 14-18.
Il s'agit d'un homonyme d'un arrière grand-père né lui aussi dans l'Aisne mais en 1890...
Marcel FERON enfant né de père inconnu, reconnu par sa mère décèdera en 1975! https://grandeguerre.icrc.org/fr/File/Details/5306251/6/1/
Semaine 16 #projet52UproG : une cheminée.
Je vous présente une des cheminées du Chateau du Clos Lucé à #Amboise en Indre et Loire.
Un lieu que j'apprécie beaucoup aussi bien pour le parc que pour le château lui-même.
https://vinci-closluce.com/fr
(photo personnelle 2017)
Semaine 12 #projet52UproG : photo ou CPA d'un commerce avec un nom de famille.
Sujet compliqué pour moi car mon grand-père BROCHARD était cafetier à Laval en Mayenne, mon arrière grand-père a été boulanger dans les Deux-Sèvres, mon grand-père SIMON est le petit garçon "accoté" à droite et une arrière grand-tante dont je vous ai déjà parlé, Joséphine possédait un café épicerie avec son époux Henri FOURNIER, ma grand-mère est à gauche et c'est en travaillant dans ce café-épicerie pour sa tante qu'elle a rencontré mon grand-père après la seconde guerre mondiale!
C'est toujours émouvant de voir son nom de famille ou celui de ses ancêtres peint sur une devanture
Et vous des commerçants, artisans, artistes dans votre famille?
#artisans #boulanger #bar #café #commerce #cpa
Semaine 11 #projet52UproG : ancienne publicité murale
Avant l'ère des panneaux d'affichage avec des posters papiers ou des panneaux lumineux, la publicité se peignait sur les murs des villes et des villages.
Dans ce village de l'Allier : Herisson, sur un même pignon, deux publicités anciennes l'une pour le journal local "le Centre républicain" et pour un magasin de tissus et nouveautés et on suppose confection!
Le Centre républicain était un journal d'information politique, économique et sociale installé à Chateauroux et paru entre 1930 et 1936
GÉNÉALOGIE DE CE JOURNAL
La *Démocratie du Centre : journal hebdomadaire d'informations. 1re année, n° 1 (29 nov. 1919)-2e année, n° 7 (14 févr. 1920)
Devenu : "Le Centre républicain : quotidien régional illustré". 5e année (22 juil. 1923)-11e année (6 avr. 1929)
Devenu : "La Dépêche de l'Indre : organe de l'entente des gauches". 11e année (14 avr.-29 déc. 1929)
Devenu : "Le Centre républicain : journal d'information politique, économique et sociale". 12e année (4 janv. 1930)-18e année (28 mars 1936)
https://presselocaleancienne.bnf.fr//ark:/12148/cb40186977t
Cela semble parfois anecdotique mais pour un généalogiste, la presse ancienne est une source à ne pas négliger lors de nos recherches. On y trouve bien évidemment des faits divers comme celui-ci, les fameux avis d'obsèques mais aussi le carnet rose par exemple ou les médailles, diplômes, reconnaissances diverses, créations d'entreprises etc
Ce monsieur avait une vision étonnante de la Saint Valentin... 1927.
Malheureusement les violences faites aux femmes sont toujours réalité un siècle plus tard en France.
Il s'agit d'un monument historique privé et habité situé dans le Maine et Loire près d'Angers et des locaux de CBL généalogie!. Peu connu, il mérite le détour. Sa bibliothèque est vraiument impressionnante avec ses 12000 ouvrages.
Une chapelle "Versaillaise"
A la fin du XVIIe siècle, la chapelle est ajoutée. Dessinée par Jules Hardouin Mansart, elle contient le mausolée du Marquis de Vaubrun sculpté par Coysevox. La Marquise de Vaubrun, née Madeleine de Bautru, avait commandé ce monument pour célébrer la mémoire de son mari, tué lors du passage du Rhin au cours de la guerre de Hollande.
Ses dimensions hors normes pour un château provincial et ses œuvres d’art font de cette chapelle imposante l'un des plus beaux exemples de l’art funéraire du XVIIe siècle. Les plus grands artistes y ont travaillé : J. Hardouin-Mansart, A. Coysevox, C. Lebrun. De tout temps, le mausolée du Marquis de Vaubrun a fait l’admiration des visiteurs du château.
https://www.chateau-serrant.net/
photos personnelles
#Projet52UproG - semaine 7 : un emblème régional
Un peu loin de généalogie cette semaine, voici un plat emblématique auvergnat : la truffade.
Son nom ne vient pas de la truffe mais de "trufada" ... c'est comme cela que l'on nomme les pommes de terres en patois local!
alors voici la recette 500g de "trufada" 250g de tome de Cantal, un peu d'ail, sel poivre...voire un peu de crème fraîche !
Epluchez et coupez les "trufada" en rondelles
faire sauter dans une cocotte sans matière grasse ail sel poivre
Ajouter la tome en fin de cuisson
mélangez et a déguster immédiatement ! avec une salade ou de la charcuterie
Bon appétit !
photo personnelle
Semaine 6 #projet52UproG : Un menu de mariage ancien.
Le menu de mariage de mes grands-parents Louis et Marie qui a entrainé 57 ans de chamailleries, 6 enfants, 14 petits-enfants ainsi que 7 arrières petits-enfants (pour l'instant). Une grande convivialité et des repas de famille qui font du bruit , de belles histoires à partager et beaucoup de bouteilles débouchées.
Avant de les déboucher, il faut les faire et pour cela Louis et Marie en 1965 se sont installés à Putille, commune de La Pommeraye (Maine et Loire) avec 7 hectares de vignes.
20 ans plus tard, 13 hectares et une deuxième génération impliquée dans ce projet !
Maintenant avec 60 hectares ainsi que la troisième génération et encore plus de bouteilles vendues et débouchées !
Salomé DELAUNAY--LEROY : stagiaire de 3ème chez CBL Généalogie
#famille #vigneron #stagiaire #mariage #maineetloire
Semaine 5 #projet52UproG : Un faire-part de décès.
Il s'agit d'une grande source d'informations pour nous généalogistes professionnels familiaux.
Malheureusement, il n'est pas toujours simple de les trouver. Certaines familles les conservent précieusement mais pas toutes... ou lors des successions ces faire-parts de personnes non connues des descendants sont jetés!!!
Parfois comme c'est le cas de ce faire part, on le retrouve dans un dossier d'archives professionnelles!!
Il y a quelques années alors que je tentais de reconstituer la vie d'un grand-oncle René VERRIER, dont je vous ai déjà parlé, j'ai consulté son dossier d'employé dans une grande banque. Différents documents professionnels, des courriers envoyés par l'employé à son employeur et ce faire-part de décès, permettant j'imagine de justifier son absence ce jour-là! Il s'agissait de son cousin germain lui aussi employé de cette même banque!
René a dédicacé son livre " la petite histoire de Roquevaire" publié en 1934 : "In memoriam d'Alphonse mort pour la France le 4 juillet 1915 et à sa mère morte deux mois après jour pour jour"
Alphonse est décédé à l'âge de 21 ans, il n'apparait pas dans les listes des morts pour la France... contrairement à cette dédicace...En consultant sa fiche matricule, j'ai découvert qu'il avait fait une campagne contre l'Allemagne de décembre 1914 à février 1915 au moment ou il a été réformé pour tuberculose pulmonaire. il décédera en juillet de la même année. Je suppose que cette tuberculose n'a pas été considérée comme contractée en service...
Ce faire-part est aussi très intéressant car la liste des personnes qui s'associent à ce faire-part est à la fois très longue et très précise! une mine.. tout plein de petit fils à tirer pour reconstituer la famille...
Et vous avez vous débloqué une branche grâce à un faire-part comme celui-ci?
Semaine 4 #projet52UproG : un corbeau.
J'ai découvert l'utilité de cette pièce de pierre, il y a quelques années alors que je rénovais une vieille bâtisse.
Une grosse poutre soutenant le plancher était un peu courte, il a donc été nécessaire de la consolider avec un corbeau un peu plus long que celui d'origine.
Celui-ci à été réalisé par un tailleur de pierre local en pierre de la Nièvre.
A noter qu'en l'absence de titre, la présence du corbeau en bois ou en pierre dans un mur mitoyen fait présumer comme propriétaire exclusif du mur celui des voisins du côté duquel existent les corbeaux. (C. civ., art. 634.)
http://justinstorck.free.fr/c/corbeau.php
#Nièvre #tailleurdepierres #travaux #rénovation
photos personnelles
Semaine 3 #projet52UproG : blason gravé ou sculpté.
Au Château de Bazoches, dans la Nièvre, on trouve une galerie dans laquelle sont présentés plusieurs arbres généalogiques. Je vous conseille la visite de ce château en excellent état. (http://www.chateau-bazoches.com)
Près d'un millier d'écusson en porcelaine de Limoges peints et cuits au four.
Il faut rappeler que les armoiries sont des documents juridiques enregistrés auprès du Sceaux de France et qui font partie du nom d'un individu.
Second rappel : la différence entre blason et armoiries:
l'écu : c'est la forme de base sur laquelle on va mettre les armoiries
les armoiries : ce sont les emblèmes/ les dessins qu'on a choisi pour représenter une famille ou une communauté
le blason : c'est la façon codifiée et scientifique de décrire tous ces emblèmes que ce soit à l'écrit ou à l'oral.
(https://www.bordeauxcognactourguide.com/blasons-ou-armoiries-si-on-revisait-en-famille)
(Photos personnelles CBL généalogie 2022)
Semaine 2 #projet52UproG : une étiquette alimentaire ancienne.
En ce mois de janvier, c'est l'occasion pour moi, grande "chocoaddict" de vous présenter le boite à couture de ma grand-mère vendéenne Madeleine, née le 11 janvier, elle aurait 91 ans...
Les chocolats SUCHARD, entreprise suisse fondée en 1826 porte le nom de son fondateur : Philippe SUCHARD dont le père Philippe était confiseur. (https://hls-dhs-dss.ch/fr/articles/030295/2012-07-25/)
Fondée à Serrières (comm. Neuchâtel) par Philippe Suchard en 1826, la fabrique de chocolat Suchard prend son essor grâce à son fils Philippe (1834-1883), puis à son gendre Carl Russ (1838-1925), qui dirige la société de 1884 à 1924.
L'entreprise mécanise sa production (création de Milka en 1901) et entame un développement international en ouvrant des filiales en Europe dès 1879 et en confiant ses recettes à des firmes étrangères dès 1922 (notamment en Roumanie, Suède, au Canada, en Afrique du Sud).
Devenue société anonyme en 1905, Suchard SA se transforme en holding en 1930, marquant, après que Willy Russ eut vendu ses actions, la fin de l'entreprise familiale.
Suchard poursuit son développement à l'étranger ainsi que sur le site de Serrières (30 kg de chocolat par jour en 1826, 60 t en 1924; 100 ouvriers en 1875, 920 à la fin des années 1960) et diversifie ses produits (Sugus, Suchard Express). En 1970, Suchard fusionne avec Tobler; Klaus Jacobs acquiert la majorité du capital en 1982. En 1990, Jacobs-Suchard cesse toute sa production chocolatière à Neuchâtel et la déplace à Berne.
La société est vendue à Philip Morris (1990) et prend le nom de Kraft Jacobs Suchard (1993), puis de Kraft Foods Schweiz (2000), qui commercialise au début du XXIe s. des produits sous la marque Suchard.
Vincent Callet-Molin: "Suchard", in: Dictionnaire historique de la Suisse (DHS), version du 25.07.2012. Online: https://hls-dhs-dss.ch/fr/articles/041958/2012-07-25/, consulté le 16.01.2023.